Un télépilote a une formation météo, au moins basique. Il doit donc vous conseiller pour obtenir les meilleures images possibles, notamment si vous n’avez pas de contraintes événementielles (une compétition à tel jour et pas un autre).
S’il s’agit d’un site, c’est au télépilote de suivre la météo pour déterminer le jour de sa venue. Vous pouvez aussi faire des prises de vue à 2 saisons différentes pour avoir une communication adaptée selon que vous voulez promouvoir votre activité en hiver ou en été.
Le télépilote doit également savoir régler la balance des blancs de son drone pour obtenir le meilleur résultat vidéo.
De son côté, le client doit faire preuve de flexibilité dans ses disponibilités s’il souhaite être présent car c’est la météo qui doit guider :
- ET la date de la prise de vue
- ET l’horaire de la prise de vue.
Le télépilote a aussi une formation pour lire les cartes de la DGAC et il est donc capable de choisir la bonne heure pour ne pas vous faire de prises de vues à contre-jour. Se méfier du télépilote qui vous répondrait « comme vous voulez » à la question « à quel moment ferez-vous votre prise de vue ? ».
Le saviez-vous : les vidéos des sites historiques du Tour de France ne sont pas faîtes le jour même, mais réalisées plusieurs semaines à l’avance

